ID 9925
permalink
biblioteca I-VcFondo Torrefranca LIBRETTI TORREFRANCA 2012
frontespizio

HIPPOLITE ET ARICIE / parodie / représentée pour la première fois par les comédiens / italiens ordinaires du roi le 11 octobre 1742 / nouvelle édition

edizione ParisN. B. Duchesne1759
formato 19,5x12,5; pp. 56
parti atti 1
illustrazioni

frontespizio; fregi 

rappresentazione s. l.s. a.
personaggi e interpreti
TheséeRochard
HippoliteMad. Déhesse
AricieSylvia
PhedreSidonie
OenoneAgathe Sticotti
PlutonSticotti
MercureCarlin
DianeSidonie
TisiphoneVincent
Les parquesVincent - Joachin - Baletti
Démons, matelots, chasseurs, chasseresses, bucherons, bucheronnes 
osservazioni

Si utilizzano: a. Qui des deux pourrons-nous choisir? (1); a. Qu'on en dise ce qu'on voudra, tout ci, tout ça (1), a. Il m'est avis que l'on me fourre (1); a. À l'ombre de ce verd bocage (2); a. Votre beauté soumet tout l'univers (2); a. Viens dans ma cellule (2); a. À l'Amour rendons les armes (2); a. Ah! Qui vous a, qui vous a, qui vous a (2); a. de Couperin Soeur Monique (2); a. Pour voir un peu comment ça f'ra (2); a. Ah! Thérese (2); a. Je vous la gringole (2); a. Sur le pont d'Avignon (2); menuet de l'opéra Agnès qu'auparavant (3); a. Comment donc, petite effrontée? (3); a. La bergère de nos hameaux (3); a. Pata, pata, pan, ter, lin, tin, tin (3); a. Ah! Morbleu, sambleu, Marion (4); a. Ce qui n'est qu'une enflure (4); a. Y a bien d'la différence (4); a. Nous autres bons villageois (4); a. J'en f'rai la folie, ma mie (4); a. Belle brune (4); a. Diablezot (5); a. Iris est plus brillante (5); menuet de Cupis (5); a. Que je suis à plaindre en cette débauche! (5); a. Quand on parle de Lucifer (6); a. Des Pandus (6); a. Vous voulez me faire chanter (6); a. Il faut suivre la mode (6); a. L'autre jour j'apperçus en songe (6); a. Ah! Robin, tais-toi (6); a. Avez-vous vû ce héros (6); a. Que devant vous tout s'abbaisse (7); a. Que le mal de dents (7); a. C'est ce qui nous enrhume (8); a. Amis, sans regretter Paris (8); a. Nous sommes trois fous, mesdames (8); a. Vous qui voyez les dames, blandé loquimini (8); a. Un jour le malheureux Lisandre (8); a. Refrain (8); a. Oh! Rendez-moi ma fille (9); a. Elle est dans cette tour augé, augé (9); a. Un jour le bon vere Abraham (9); a. Nous autres bons villageois (9); a. Les gourdins (9); a. Gros nez, gros nez (canon, 9); a. Perrette étant dessus l'herbette (9); a. À sa voisine (10); a. Ah! Mon mal ne vient que d'aimer (10); a. Le tout par nature (11); a. Ma Nanon, ne pleurez pas (11); a. De l'Amour tout subit les loix (11); a. Si le roi m'avoit donné (11); a. Du cotillon couleur de rose. Non, je ne veux pas badiner (11); a. Je vois venir ma mère, arrêtez-vous donc (11); a. M. le Prevôt des Marchands (11); a. Tourne, tourne, tourne, c'est ton payement (11); a. Ah! J'ai tout vû (12); a. Sont les garçons du port au bled (13); a. Le roi dit à la reine (13); a. L'occasion fait le larron (13, 21); a. Tu tueras ton père et ta mère (13); a. Je suis gaillard et j'ai bon estomach (14); a. Les Trembleurs (14); a. Allons donc, jouez, violons (15); a. Catherinette assise sur le bord de la mer (15); a. Non, non, je ne veux pas rire (15); a. de l'Opéra (16); a. Le fameux Diogene (16); a. Je ne regrette point la ville (16); a. Qu'importe, qu'importe? (16); a. Le bonheur de ma vie n'a dure qu'un moment (17); a. J'ai un coquin de frère (17); a. Marguerite, ma Mie, olire, olire (17); On y va deux, on revient trois (17); a. Allons donc, mademoiselle (17); a. Comme deux sçeaux dans un puits (17); a. divertissement À la chasse, à la chasse, à la chasse (con musica, 18); a. Aperlua bona (18); a. Les filles de Montpellier (18); O pierre, o pierre! (18); a. Que je regrette mon amant! (19); a. Il vous faudroit un biscuit (19); a. duo Ah! Barnaba (20)a. Ah! Que le Fauxbourg S. Jacques (20); a. Aimez, belle pastourelle (21); a. Si ma Philis vient en vendange (21); a. Toujours va qui danse (21); vaudeville Héreux qui flatte votre goût! On tâche (con musica, 21); branle Tous nos tendrons sont aux bois; v'là c'que (con musica, 21). Alle pp. 51-56 «Ariette chantée par M.lle Victoire. À la reprise de cette parodie en 1757, M.lle Victoire chantoit cette ariette à la scène IV après le couplet «Enfin j'ai découvert leur feu» Dans mon coeur s'élève un orage (con musica, 21).